Un établissement scolaire à Indore, en Inde, a forcé les étudiants musulmans à passer leurs examens en plein soleil pour empêcher la propagation du Coronavirus, incitant les médias à considérer cette décision comme une manifestation de l’islamophobie en Inde.
Malgré les circonstances difficiles que traverse l'Inde actuellement, les musulmans d'Ichalkaranji ont financé 10 unités de soins intensifs grâce à la Zakat Eid al-Fitr, collectée pour traiter les patients atteints du Coronavirus de diverses religions et ethnies.
L'écrivaine Arundhati Roy a mis en garde contre l'utilisation du Coronavirus pour alimenter les conflits entre musulmans et hindous décrivant ce qui arrive aux musulmans en Inde comme un génocide et accusant certains partis indiens d'avoir adopté des idées nazies.
La situation pour les musulmans dans la région du Jammu-et-Cachemire est devenue extrêmement préoccupante après la propagation du Coronavirus. Le siège imposé par l'Inde entrave les efforts des secours, incitant le Pakistan à exiger la levée immédiate du siège.
Dans le cadre de la vague de violence contre les musulmans qui sévit actuellement à Delhi, le New York Times a révélé de nouvelles preuves confirmant l'implication de la police indienne dans les violences infligées aux musulmans.
À Delhi, en Inde, l'extrême violence visant les musulmans et les mosquées perdure. Les nationalistes hindous ont tué et blessé des centaines de musulmans pour les empêcher de protester contre la loi sur la nationalité, jugée discriminatoire à l’égard des musulmans.
L'histoire de l'indien musulman, Mohammed Amir, révèle la transformation d'un hindouiste extrémiste qui détruit des mosquées en un musulman tolérant qui en bâtit des dizaines d'autres et diffuse les enseignements de l'islam et les valeurs de coexistence en Inde.
Le Pakistan a ouvert un couloir de pèlerinage permettant aux Sikh indiens de se rendre au Pakistan sans visa pour visiter le site de Kartapur. Après une période de tension avec l'Inde, cette démarche souligne le principe de respect mutuel et de tolérance religieuse.
Il s'est battu pour l'indépendance de l'Inde, a appelé à la non-violence et a été emprisonné pour son activisme. Il ne s'agit pas de Gandhi mais de son compagnon musulman, Abdul Ghaffar Khan, que beaucoup ont oublié! Découvrez le récit inspirant de son combat.
Des membres du comité de gestion de Jama ... Lire la suite
Dans une lettre ouverte, 62 membres musulmans du ... Lire la suite
Le carré musulman du cimetière de Mulhouse, en ... Lire la suite
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